samedi 20 mars 2010

Je crois que je me suis assez fait desirer là!



Donc c'est ça: vous allez me dire "mais késésé ça"?
Et bien un projet de photos: d'images au sens plus large en fait.
Un jeu de perte de repère dans l'espace et dans le temps. De temps? allez vous répondre.
Mais le principe de la photo n'est-il pas justement d'en faire abstraction? Mais oui, mon bon monsieur, répond-je ( à récurer...) et c'est bien là tout l'enjeu tordu du truc dénoncer le flot continu et omniprésent d'image en une seule fixe (ok une série)... Voilà pour le concept en gros (enfin bon moi ce que j'en dis...), et le labyrinthe dans tout ça? Quand je dis
perte de repère dans l'espace et le temps c'est là qu'il faut dire: ha bé oui...
M.

vendredi 5 mars 2010

Mais bien sur! C'était RVB!

Et voilà quelques croquis de recherches pour Ulrik et Léna au pays des abeilles.
Allez voir sur Internet le tableau "Hommage au facteur Cheval" de Martine Doytier. C'est très important.





A bientôt les amis!

Vous voyez!

Bonjour!

Et comment j'en suis venu à Ulrik et Léna aux pays des abeilles pour le labyrinthe? Car il y a une rapport, eh oui oui!

Bon déjà ça me paraît très difficile de séparer le labyrinthe de l'architecture, je me suis donc intéressée à Escher, les constructions d'insectes, fourmis, guèpes, abeilles, impressionnant!

J'en ai alors déduit que je n'aime pas: les perspectives impossibles, les mises en abime, les choses sans début ni fin, les choses visibles mais non lisibles, les figures géométriques fermés, les trompes l'oeil. Je vais donc adorer faire perdre mes personnages dans un labyrinthe, d'abord le château du long fantôme Coulomier, puis le palais de la reine des abeilles.

Ce qui est labyrinthique ce n'est pas la construction en soi, c'est le fait de ne pas connaître les rêgles, du lieu que l'on traverse, ça vaut aussi pour les hiérarchies d'une société à laquelle nous somme étranger (comme par exemple dans une ruche).
Dès qu'une structure complexe n'a pas été construite par nous, elle apparaît comme un labyrinthe.
Etre dans un labyrinthe c'est ne pas connaître l'organisation générale du milieu que l'on traverse et avancer en le découvrant morceau par morceau. Un labyrinthe, c'est un point de vue rétréci et une sacrée impression de claustrophobie.

Ouh que je vais adorer perdre Ulrik et Léna la-dedans! Un grand plaisir de narrateur ça peut être d'inventer un lieu dont il connaît les rêgles et poser ses personnages dedans.

Bon en gros les notions clés de mon histoire seront: répétition, tourner en rond, qui échappe à la compréhension, vertige, nausée, décontextualisé, sans repères.

Sinon dès que j'ai fini mes autres livres, je vais lire "La vie des termites", "La vie des fourmis", "L'araignée de verre" de Maeterlinck. Je vous conseille "La vie des abeilles", un peu allumé, mais justement.

Bon bah voilà! ya plus qu'à!

Ya plus qu'à comprendre pourquoi mon envoi de fichier ne fonctionne pas.... hum

Au fait, c'est la première fois que je participe à un blog.

Albert

mardi 2 mars 2010

Oui, oui, j'arrive!


J'ai décidé de dessiner une B.D qui s'intitulera: Ulrik et Léna aux pays des abeilles.
Encore un peu de temps et je vous raconte pourquoi, encore un peu plus de temps et vous aurez les premières bouts.

Albert